Discours de Laurent MATHIEU à la réunion publique du 4 mars 2014

      Mesdames, Messieurs, Mes chers amis,

   En ce moment que chacun devine si important pour l’avenir, si important pour Montignac, ce qui nous anime ce soir c’est l’envie de voir l’effort engagé il y a maintenant 6 ans se poursuivre et s’amplifier.

     Je voulais ce soir devant vous tous ici réunis, vous dire l’envie que j’ai au plus profond de moi de poursuivre la modernisation de cette ville que j’aime et qu’il me plaît de servir comme il me plait de vous servir.

    Entouré par une équipe d’ouverture, nous puiserons l’énergie de chacun pour faire de vos rêves des réalités.

     Mais il faut rester avant tout réaliste ne pas promettre l’impossible, ne pas s’emballer en pensant que tout n’est qu’une question de volonté. 

     Bien sûr, la volonté est essentielle mais il faut l’associer à une dose de réalisme qui fait souvent défaut en politique.

    La patience est nécessaire, le travail est indispensable car rien n’est jamais facile, rien n’est jamais acquis. 

     La gestion quotidienne peut être déléguée sans problème aux personnels des services municipaux qui font au quotidien un travail remarquable, nous n’avons pas besoin d’un gestionnaire en bon père de famille. 

     Nous avons besoin d’un Maire visionnaire avec un esprit créatif, un Maire qui trace le chemin à suivre, un Maire qui anime la vie locale un Maire qui anime l’économie, qui innove,  qui prend le destin de sa commune en main. Un Maire avec un regard et une sensibilité,  qui traverse la rue pour vous tendre la main, un Maire proche de sa population sans distinction. 

     Je n’ai pas besoin de vous promettre tout ça, je vous l’ai donné durant ces 6 années passées à servir cette commune.

   Critiquer l’action des sortants et promettre de faire mieux et un pari souvent risqué. L’action publique aujourd’hui est contrainte par les finances et les décisions sont souvent prises en concertation très large avec les techniciens des bureaux d’étude et les financeurs.

        Mesdames, Messieurs, Mes chers amis,

     Votre présence, ce soir,  est le signe que j’attendais, elle résonne en moi, comme un soutien,  comme un message que vous me délivrez.

      Le message que la mission que vous m’aviez confiée en 2008 vous a apporté satisfaction. Je prends donc votre présence ici ce soir comme un soutien à cette action menée et je vous en remercie.

   Nous avions à cœur avec mon équipe de tenir les promesses faites.

    Nous avions à cœur de vous servir, certes nous avons trouvé des obstacles, eu parfois des doutes, rien n’est facile d’autant plus que nous devions obtenir les  premiers résultats très rapidement.

      Il fallait tracer la ligne directrice sans se tromper, pour obtenir la confiance de nos nombreux partenaires.

Au premier chef desquels : 

Le conseil Général, les chefs d’entreprises, le tissu associatif. 

Il fallait obtenir votre confiance.

   Notre rôle a été de fédérer, d’apaiser les tentions lorsqu’il y en avait, d’écouter tout le monde sans distinction.

     Notre rôle a été de prendre des décisions. Des décisions qui auront une portée bien au-delà de ce mandat puisqu’elles engagent l’avenir de notre ville pour plusieurs générations.

     Le 23 mars, votre vote  sera un vote de confiance pour inscrire notre ville sur le chemin de l’excellence. Votre vote portera sur le dynamisme retrouvé.

   Je fais partie de ceux qui préfèrent voir un hôtel d’entreprises plutôt qu’une friche industrielle

     Je fais partie de ceux qui veulent construire des ronds points, des routes et des canalisations d’eau pour les générations futures, 

    Je fais partie de ceux qui préfèrent un endettement raisonnable à un immobilisme complet.

     Oui je fais partie de ceux qui retroussent les manches, enfile le bleu de travail  aussi bien que le costume cravate pour vous servir, 

      Oui je fais partie de ceux qui veulent construire, de ceux qui s’entourent des meilleurs pour y parvenir, et à ce propos, je vais vous présenter cette équipe qui comme moi veut s’engager pour Montignac.